Dans le pèlerinage que j’ai fait, dans ce midi de la France, cette église du Sacré Cœur est plus que choquante.

Certes une église est un lieu privé, et je respecte totalement les convictions religieuses de chacun, quelles qu’elles soient. C’est une liberté de conscience fondamentale qui doit être respectée, c’est une démarche que j’admets sans état d’âme. Mais un certain nombre de Chrétiens m’ont fait part de leur indignation que des criminels, comme ceux de l’OAS, condamnés à mort pour leurs forfaits et exécutés, soient considérés dans ce lieu de culte comme des martyrs.

Il existe aussi une stèle au Cimetière de Rabiac, qui est le rendez-vous des nostalgiques de l’Algérie Française, de l’OAS.