Pendant la Guerre d’Algérie le Parti socialiste eut un rôle important dans la poursuite de ce conflit.
En 1956, la Gauche majoritaire, élut sur la base de la volonté exprimée dans les urnes de trouver rapidement une solution de paix vota à Guy Mollet les pleins pouvoirs pour cela.
François Mitterrand, longtemps ministre de la Justice instruisit de nombreux dossier de demande de grâces présidentielles pour les condamnés à mort. Il en refusera 8 sur 10.
La SFIO soutenait alors clairement le colonialisme.
Aujourd’hui, le PS, héritier de cette SFIO, n’a pas forcément totalement rompu avec ces conceptions, sans doute pour une part pour des raisons électoralistes, mais sans doute aussi par doctrine politique.
Les exemples ne manquent pas d’une certaine continuité dans ce domaine :
A Marseille, Gaston Deferre recrute un ancien de l’OAS Théodore BALALAS, dans les années 1975. Voir l’article concernant ce personnage (lettre à François Hollade du18 fév 2006) .
Le soutien à Georges Frèche qui n’a pourtant pas caché ses sympathies en vers les nostalgiques de l’Algérie Française, n’a jamais été démenti, même à l’occasion de ses obsèques, malgré son exclusion du parti.
Pour la loi du 23 février 2005, "glorifiant" le colonialisme, élus du PS se partagent entre un vote positif, l’abstention, et seulement quelques votes négatifs.
Les liaisons équivoques entre la Région PACA et l’ADIMAD-OAS pour son subventionnement.
A Ris Orangis (91), en 2007, le Maire vice-président du Conseil Général de l’Essonne inaugure, sans état d’âme une stèle glorifiant l’Algérie Française, mettant en cause les accords d’Evian. (voir la page sur Ris Orangis)
le 28 octobre 2010, à Marignane, les élus socialistes s’abstiennent seulement pour le vote concernant la convention devant permettre à l’ADIMAD-OAS de remettre en place dans le Cimetière de la Ville la stèle "glorifiant" les "héros" de l’OAS, ceux qui ont été condamnés à mort et exécutés pour leurs crimes.
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